STOP ! A LA DESTRUCTION DU PETIT OURSON DES BOIS
COLLISION - DÉTERRAGE - CHASSE
Avant-propos
Dans plusieurs littérature qui parle des blaireaux Eurasien, ils accordent tous pour dire qu'en liberté et également en captivité, la durée de vie du blaireau peut atteindre l'âge de 15 à 20 ans. Ces multiples informations proviennent principalement d'analyses d'animaux accidentés ou tué durant la chasse. Le record absolu de longévité proviendrait semble t-il d'in individu du Danemark, où l'âge de deux blairelles victimes de trafic routier s'élevait à 21 ans et, par ailleurs une inspection de la cavité utérine à montré que leur activité reproductrice n'avait pas cessé. Mais les records de longévités évoqué ici, ne concerne à vrai dire que des cas relativement rares, 24% des nouveaux-nés meurent avant même d'avoir quitté le terrier et, 34% des mâles et 26% des femelles ne passent même pas le cap du premier hiver. Pour les subadultes, les taux de mortalités sont assez similaires, 36% des mâles et 27% des femelles n'entrent même pas dans leur troisième année de vie, donc finalement chez les adultes âgés de 2 ans ou plus, en moyenne 23% des mâles et 18% des femelles épousent chaque année la mort. Donc statistiquement une blairelle à 23% de chance de vivre au moins 5 ans et un mâle lui peu avoir la chance de vivre 10 ans, ces derniers appartiennent donc aux 4% des heureux survivants.Toutes ces données de longévité sont très fiable, car elles été récoltées sur une période de 15 années auprès de 3000 captures et recaptures de blaireaux appartenant à 21 groupes sociaux différents. Mais il est important d'évoquer que se rapport à été fait sur une population de forte densité. Pour établir cet avant-propos face à la longévité du blaireau, toutes ces informations et statistiques ont pu être établis ici au coeur de cet avant-propos grâce à l'ouvrage " le blaireau d'Eurasie " de Emmanuel Do Linh San et au chapitre sentier de la mort. Après cet avant-propos sur la longévité que peu atteindre un blaireau, nous allons maintenant énumérer toutes les autres activités qui sont liés aux différentes mortalités exercé sur Meles meles, comme les collisions routières, la chasse, les maladies... malheureusement, elles sont beaucoup trop nombreuses.
Afin de vous montrez que le blaireau à toujours été persécuté depuis la nuit des temps,
voici deux courts métrages qui ont été filmés en Angleterre dans les années 1923.
Pour les regarder et télécharger les films veuillez cliquer sur l'un des logos du British Pathé
voici deux courts métrages qui ont été filmés en Angleterre dans les années 1923.
Pour les regarder et télécharger les films veuillez cliquer sur l'un des logos du British Pathé
Ces deux films sont la propriété du British Pathé Cinéma
voici le lien direct du site, cliquez sur le logo
La France n'est pas en reste côté cruauté animal, voici également un film sur la chasse au blaireau des années 1922,
il est diffusé par la Early 20th Century et Pathé Baby.
il est diffusé par la Early 20th Century et Pathé Baby.
Cliquez sur pellicule ci dessus pour télécharger le film
Le département de Côte d'Or sont les CHAMPIONS toutes catégories face à la destruction du petit ourson des bois.
Dans cette région, les blaireaux ont fortes à faire, ils subissent les plus Abominables Cruautés des Veneurs et des Chasseurs en tous genres. Rien ne les arrêtes dans leurs barbaries sanguinaire.
Les collisions routières
L'existence d'un blaireau n'est malheureusement pas toujours rose tous les jours. Celui-ci doit faire face à de très nombreuses menaces et la plus importante est très certainement du aux collisions routières. Dans la plupart des pays d'Europe ou vie le blaireau, la circulation routière engendre de nombreuses pertes au sein des populations de blaireaux, chaque années l'expansion des réseaux routiers se font grandissantes, en moins de 20 ans elles sont plus que décuplé. Chaque années, les mortalités accidentelles faite par les prédateurs métalliques chausser de roues, cause d'importante perte, il devient même très importante d'année en année. Comme l'évoque Emmanuel Do Linh San dans son ouvrage sur le blaireau, l'étude faite au Danemark par Aaris Sorensen rapporte que 200 à 300 individus ont été renversés par des véhicules au début des années 1970 contre 3600 pour l'année 1991 et, en Grande-Bretagne la route tuerait jusqu'à 500 blaireaux chaque année ce qui correspondrait à 15-20% de la population estimée dans ce pays. La France ne reste pas stérile à cette boulimie destructrice, car en 1989 Bourand signalait qu'il y avait 2000 blaireaux d'écrasés annuellement, mais aujourd'hui en France on l'estime maintenant à 30 000 le nombre de blaireaux victimes du trafic routier. Ces désastreuses pertes serait fortement prononcée au cours des périodes saisonnières du printemps et de l'automne, très certainement en raison d'une importante mobilité liée au rut. Non seulement cela n'occasionne pas qu'une seul perte, mais parfois plusieurs en subissent les conséquences, on estime que 10% des portées sont ainsi victimes de subir le même sort que les parents, ils sont condamnées à épouser la mort au fond de leur terrier, se qui aggrave d'autant plus la situation chez le peuple blaireaulogique.
Pour palier à ces difficultés de collision face au passage du blaireau et de la faune en général sur les ouvrages routiers afin d'assurer la perméabilité de ces derniers n’est pas chose facile. Cela se complique si l’on considère que ces ouvrages routiers sont entièrement clôturés pour empêcher les animaux de se retrouver sur la plate-forme routière et éviter les collisions avec les véhicules, ce qui est le cas des autoroutes… et d’autres voies routières importantes. C’est pourquoi il est primordial de concevoir, dès la phase projet, des ouvrages qui permettront au blaireaux et à l’ensemble des animaux d’effectuer les déplacements nécessaires à leurs cycles biologiques: alimentation, repos, reproduction, brassage génétique… pour ne pas rompre les continuités ou corridors écologiques qu’ils ont l’habitude d’emprunter.
L’autoroute A28 compte, sur les 125 kms de la partie normande traversée (Orne & Eure), 10 passages à faune qui permettent ces échanges de part et d’autre de l’ouvrage.
Il en existe divers types: des passages inférieurs (sous la route) et des passages supérieurs(ponts). Certains sont mixtes pour répondre à une double fonction: le passage des animaux et l’écoulement d’un cours d’eau (passage hydraulique mixte) ou le passage des animaux et une circulation routière de faible ampleur (passage inférieur ou supérieur mixte). Enfin, il existe des passages supérieurs dédiés exclusivement au passage des animaux sans autre usage autorisé.
Les différents passages de l’autoroute A28 font l’objet pour le compte d’Alis, société concessionnaire de l’A28, d’un suivi de leur fréquentation par les fédérations des chasseurs de l’Orne et de l’Eure depuis 2006.
Différentes techniques sont mises en œuvre pour permettre ces suivis : des pièges à traces(surface composée de sable permettant de relever les traces des animaux) sont positionnés sur ces ouvrages ou, plus récemment, des pièges photographiques à détection de présence judicieusement positionnés pour « capturer » en images les animaux qui empruntent ces passages.
Les résultats de ces suivis confirment globalement le bon fonctionnement de ces ouvrages avec certes des différences dues à leur conception ou aux usages non prévus qui peuvent y être notés: quads, motos, clôture agricole, tracteurs… Parfois, des aménagements complémentaires simples ont pu accroître leur fréquentation par les animaux : pose de blocs rocheux, plantations appétentes…
Sans surprise, les ouvrages supérieurs entièrement dédiés aux animaux sauvages obtiennent les meilleurs résultats : sur les deux passages de cette nature dans l’Orne et pour la période de mi-septembre 2014 à janvier 2015, ce ne sont pas moins de 152 sangliers, 256 chevreuils, 174 cerfs et 253 autres petits animaux (renards, blaireaux, lièvres, lapins…) qui ont utilisé ces ouvrages. Ces exemples dans les département de l'Orne et l'Eure ne sont que quelques exemples dans ces régions mais il en existent d'autres au coeur de la France.
Voici une lettre de liaison du GMN sur les collisions routières, elle ne parle que d'elle même, les blaireaux sont malheureusement les premiers touchés par le prédateur de métal.
Pour connaître le site man'route cliquez sur le logo du dessous.
Bien que les mesures évoquées ci dessus demande des fonds important pour construire certaines de ces infrastructures, il existe aujourd'hui des solutions peut onéreuses, c'est la possibilité cette fois ci l'ont parlera pour les conducteurs bienveillants, il faudra que celui ci installe sur leur véhicule pour un prix modique, ils vous en coûtera environ 15 euros, des répulsifs sonores qui émet des ondes ultrasoniques, inaudible pour l'être humain mais pas pour les blaireaux. Il suffit de les fixer sur le devant le par-chocs ou sur les rétroviseurs, pour que le système soit efficace il faudra que vous rouliez à plus de 50km/h afin d'avertir votre arriver à tous mammifères sauvages qui se présentes sur la chaussée de quitter au plus vite la route afin d'éviter toutes collisions.
En Grande-Bretagne et au Pays-Bas grand protecteur du blaireau et des existences sauvages, les automobilistes ont affaire à des signaux routiers totalement encore inconnus en France et en Suisse, peut être devrions nous plagier ces techniques de protection routiers. Dans ces pays, ils sont placés sur des zones à risque, qui à entraîné dans le passé de nombreuses pertes, des panneaux "Badger crossing" ce qui veut dire "Attention blaireau". Dans d'autres zones se sont des dos-d'ânes qui sont aménagé le long des chemins de campagnes pour les automobilistes adopte une vitesse réduite pour qu'ils puissent freiner au moment voulu. Comment le blaireaux est un animal qui se déplace surtout la nuit, des réflecteurs spéciaux peuvent également orner les réseaux routiers de ces pays, cela encourage ainsi aux blaireaux de quitter ou à ne pas s'aventurer sur la chaussée.
L'aménagement d'un blaireauduc se situant aux Pays-Bas
Pourquoi ne pas copier certains pays Anglophone, voici donc le type de panneaux routier que nous avons créé, nous envisageons de le mettre sur des zones à risque dans notre région. Si vous souhaitez également faire de même chez vous dans votre département, afin de protéger le blaireau des collisions routières, sur demande, nous pouvons vous envoyez cette pancarte en haute résolution. Pour toutes infos, envoyez votre message à cette adresse leroyaumedemeles@sfr.fr
Dossier à télécharger sur les collisions routières
Dossier pdf sur la revue n°310 Faune Sauvage que publie l'ONCFS, elle parle d'un"carnet de bord petits carnivores" que possèdent chaque agents dans leur véhicule, afin que ces derniers puissent noter leurs propres observations face à six mustélidés victimes du trafic routier. Sans surprise, le blaireau est le premier de la liste.
Reportage Danois sur des travaux de protection du blaireau, avec Mari De Bijl
de l'association protectrice de la nature Brabants Landshap
(Cliquez sur le logo ci dessus afin de télécharger la vidéo)
Sans surprise, après les collisions routières, les causes de mortalités la plus importante chez les blaireaux, c'est bien évidemment la chasse et la véneries sous terre. Cette activité de chasse qu'est la vénerie sous terre, le blaireau est principalement traqué que par ce genre de chasse, car cet animal est en grande partie nocturne par conséquent, les modes de chasse traditionnels que sont les chiens courants, à tir à l'affût au à la billebaude ne sont donc pas pratiqués. Il semblerait que le blaireau est été chassé depuis les temps préhistorique, mais toute fois, de nos jours il est bien difficile de connaître l'importance que prenait cette espèce à cette époque primitive. Mais plusieurs parties de cette espèce ont été retrouvé au Pays de Galles sur le Great Orme, dans le Kendrick's Cave ce site à été découvert par l'archéologue Thomas Kendrick en 1880. Il s'agit de deux dents de blaireau perforées, qui était très probablement fixées sur un pendentifs. Quelques ossements comportant des traces de coupures ont été découverts dans le Gough's Cave et à Starr Carr. D'autres découvertes semblables ont également été faites en Belgique, au sud-est de Dinant, dans deux Trous celui de Chaleux et celui de Nutons. Suite à ces multiples découvertes archéologique, l'on en déduit donc que le blaireau était très certainement utilisé pour sa fourrure, comme outils, comme ornements et comme source de nourriture, mais toutefois la viande des mustélidés n'étaient consommée que sporadiquement, en hivers ou lorsque les herbivores se faisaient rares, par ces chasseurs nomades du paléolithique. Comme quoi cette espèce de mustélidés n'a jamais vraiment été " blairer " depuis son apparition sur terre.
En France le blaireau n'est classé en tant que nuisible mais en tant que gibier, mais pourquoi le classé dans cette catégorie puisque comme certains dictionnaires ou encyclopédies écrivent - Gibier n.m. est l'ensemble des animaux sauvages que l'on chasse pour en consommer ou en vendre la viande -. Dans le cas du blaireau c'est totalement exclut, nous ne consommons pas sa chair, bien que plusieurs article évoque qu'un certain Britannique de 74 ans Arthur Boyt cuisine différentes bêtes écrasées, dont le blaireau en fait partie. Il donne même la recette pour préparer un ragoût de blaireau, il évoque même " la saveur d'un ragoût de blaireau est ronde, lisse et douce et en plus ci il est accompagner d’un vin rouge comme le Chianti, c'est un régal ", on nage tout droit dans le film " Le Silence des Agneaux " un Hannibal Lecter version made in England le titre serait alors " Le Silence des Blaireaux ".
En période de chasse, à partir de la mi-septembre, le blaireau peut être tiré jusqu'à la fin du mois de février et déterré jusqu'au 15 janvier, mais le déterrage peut être prolongé sur simple volonté d'un arrêté du préfet et elle peut être ainsi pratiqué dès le 15 mai, mais cela dépend également du département, l'arrêté préfectoral peut changer. Le blaireau est quant même chassé durant 9 mois dans l'année, il bénéficie donc malheureusement d'une exception dans le monde des espèces gibier.
La tribu des chasseurs les ont affublés de surnoms assez barbares "les malfaisants, les nuisibles, les puants ...". Ces activités que l'ont dit sportive, se sont les deux actes de destruction de persécution les plus atroce et les plus barbare, surtout celle de la vénerie sous terre, c'est une chasse du abominable et d'une redoutable cruauté qu'usent tous ces affreux prédateurs et mammifères bipèdes. Comme les hommes sont ils arrivé à engendrer une t'elle haine sanguinaire envers le peuple animal, surtout auprès de certaines espèces animales comme le blaireau, plus que tous les autres mustélidés, se trouve en très grand péril de mort dans un nombre élevé de départements Français. Mais de quels crimes inexplicables ce petit nounours des bois c'est il rendus coupable pour encourir de pareils traitements ? Voilà tous le sujet qu'exposera ce présent article et chapitre.
Encore appelé "vénerie sous terre", le déterrage est une barbarie d'un autre âge, comme l'évoque Jacques Du Fouilloux comte de Foix dans son ouvrage Vénerie (1519-1580), il consacre un chapitre entier afin d'expliquer "comment il faut bescher et attraper les tessons". De nos jours, le déterrage de blaireau se pratique toujours et toujours avec une terrible et époustouflante cruauté. Voyons comment ces veneurs déterreurs sanguinaires pratique cette chasse destructrice. Que cache véritablement cette activité en pleine expansion ces dernières années. Une jolie terminologie qui serait particulièrement mal vécue par le grand public si son déroulement en était mieux connu, donc essayons d'en apprendre beaucoup plus dans cette article.
En période de chasse, à partir de la mi-septembre, le blaireau peut être tiré jusqu'à la fin du mois de février et déterré jusqu'au 15 janvier, mais le déterrage peut être prolongé sur simple volonté d'un arrêté du préfet et elle peut être ainsi pratiqué dès le 15 mai, mais cela dépend également du département, l'arrêté préfectoral peut changer. Le blaireau est quant même chassé durant 9 mois dans l'année, il bénéficie donc malheureusement d'une exception dans le monde des espèces gibier.
La tribu des chasseurs les ont affublés de surnoms assez barbares "les malfaisants, les nuisibles, les puants ...". Ces activités que l'ont dit sportive, se sont les deux actes de destruction de persécution les plus atroce et les plus barbare, surtout celle de la vénerie sous terre, c'est une chasse du abominable et d'une redoutable cruauté qu'usent tous ces affreux prédateurs et mammifères bipèdes. Comme les hommes sont ils arrivé à engendrer une t'elle haine sanguinaire envers le peuple animal, surtout auprès de certaines espèces animales comme le blaireau, plus que tous les autres mustélidés, se trouve en très grand péril de mort dans un nombre élevé de départements Français. Mais de quels crimes inexplicables ce petit nounours des bois c'est il rendus coupable pour encourir de pareils traitements ? Voilà tous le sujet qu'exposera ce présent article et chapitre.
Carte postale ancienne sur le déterrage du blaireau
Livre célèbre de Joseph Lêvitre sur le piègeage
Quelques pages d'anciens ouvrages sur la vénerie sous terre et la chasse au blaireau.
Tout commence par un repérage d'une adresse de blaireautière afin de trouver un terrain idéale pour pratiquer durant plus de 8 heures voir même une journée entière ce spectacle d'une grande violence. Ce "loisir sportif" tellement particulier, parfois des jeunes enfants sont invités voir des familles, nos charmantes tête blondes participent là à une culture pédagogique d'une intolérable barbarie. Une fois le terrier découvert, il faut élaguer, arracher, couper... l'ensemble des gueules de la blaireautière afin que les déterreurs puissent ainsi travail confortablement. Après avoir fait place nette, les déterreurs avoient un de leurs chiens de race teckel, jagdt ou fox terrier s'engouffrer dans le boyau de l'adresse du blaireau. Pendant qu'il parcourt l'intérieure sombre de la forteresse sous-terrain, les chasseurs tendent l'oreilles au sol afin de guetter sa progression dans les couloirs terrestre. Lorsque le chien émets des aboiements, c'est que ce dernier à découvert le blaireau et qu'il a réussi a l'acculer dans l'une de ses chambres. Suite à aux aboiements du chien, le signal est donné, il faut maintenant attraper les pelles et les pioches afin de commencer l'excavation afin de pouvoir atteindre le donjon du pauvre prisonnier. Les veneurs peuvent creuser de 50 cm à 3 m de profondeur et c'est en collant l'oreille sur la terre qu'on retrouve l'endroit ou se réfugie l'animal. Avec acharnement et sans relâche, la blaireautière et tous ce qui se trouvent au alentour, est devenu un terrible champ de bataille, le territoire du taison n'est plus un biotope paisible et discret, il est maintenant devenu l'oeuvre destructrice des déterreurs chasseurs, un véritable chantier de défoulement et de jeu pour ces mammifères bipèdes sanguinaires et sans coeurs. Durant des heures, voir une journée entière, le blaireau ou les blaireaux parfois accompagnés de jeunes blaireautins, endurent quelques coups de canines du ou des chiens accompagné d'un stress énorme blotti au fond de sa chambre qui deviendra dans quelques heures un "tombeau". Avec ces attaquent de chiens, le pauvre blaireau goût ainsi à la terrible souffrance, encore plus barbare et sanguinaire, qui l'attendra à l'extérieur. Arrivé au bout de la chambre "mortuaire", l'obscurité protectrice du terrier devient brutalement lumineuse, pour le blaireau c'est un avant goût de la vie à trépas qui s'annonce, le chemin qui mène au bout de cette lumière c'est en faite la porte du paradis des blaireaux, bientôt il viendra épouser la mort.
Les différents outils de la vénerie sous terre : la pelle, la pioche et les meurtrières pinces d'extraction
Les déterreurs lâchent leurs outils d'excavations afin de saisir un autre outil destructeur pour l'animal cette fois ci, il s'agit d'une énorme pince métallique qui lui infligera de douloureuses et sanguinolents blessures. Mâchoire ouverte, la pince attend devant l'ouverture de ce qui reste de la chambre, ci le blaireau sort la tête, d'un coup violent il sera attrapé juste derrière la tête, puis sera soulevé exhibé devant les chiens assoiffés de sang et ensuite trainé au sol puis exécuté ou selon les termes employés "servi" d'une balle de fusil, d'un coup de dague derrière la tête ou parfois d'un coup de pelle. D'autre attendre le pistolet au poing que le blaireau sorte la tête et lui tire un balle dans la tête. Tout autour les chiens aboies, ils attendent la "récompense" de leur travail, c'est à dire que les veneurs pour ainsi montrer leurs toutes puissances, ils donnent la dépouille du blaireau souillé de sang aux chiens qui en " font curée ", ces derniers le tiraille de tous les côtés, ils le mordent avec acharnement et l'éviscères, parfois le blaireau est encore vivant. Parfois, dans un paradoxal sursaut de pitié, les déterreurs concèdent à laisser vivre l'animal, dont son temps de survie ne sera cependant que très limitée. En effet suite au traumatisme et au stress important que l'animal a subit lors du déterrage, certain articles scientifiques ont démontrés que leur métabolisme basal se modifie au point ou leur décès n'est qu'une question de temps et d'heures après que les chasseurs déterreurs les est relâchés. Mais malheureusement cet argument éthique n'est jamais pris en compte par les autorités préfectorales et ministérielles.
Après avoir terminé leurs massive destruction, ces soit dissent régulateur de la faune sauvage rebouchent grossièrement l'adresse de la blaireautière. Certain d'avoir fait leur rôle de "régulant" face à ce désastre naturel, bien au contraire, même l'Office National des Forêt (ONF) souligne que "le déterrage doit rester une activité de gestion ou de régulation liée à une problématique localisé et non être considérée comme une activité sportive comme le considère le monde des veneurs sous terre"
Cette activité chasseresse d'une cruauté sans limite, prétendent exercer des règles de déontologies et de tradition, non pas pour tuer sans faire souffrir l'animal sauvage, mais pour pratiquer leurs " art " légués de génération en génération au file des ans, juste pour le plaisir sadique des chasseurs en mal d'émotion forte et sportive. Cette chasse réunit d'ardent passionnés qui vont jusqu'à organiser des championnats de déterrage comme celui de pratiqué Cluny.
Les différents outils de la vénerie sous terre : la pelle, la pioche et les meurtrières pinces d'extraction
Cette activité chasseresse d'une cruauté sans limite, prétendent exercer des règles de déontologies et de tradition, non pas pour tuer sans faire souffrir l'animal sauvage, mais pour pratiquer leurs " art " légués de génération en génération au file des ans, juste pour le plaisir sadique des chasseurs en mal d'émotion forte et sportive. Cette chasse réunit d'ardent passionnés qui vont jusqu'à organiser des championnats de déterrage comme celui de pratiqué Cluny.
Les trois principales races de chien, utilisé pour la vénerie sous terre,
le teckel poil dur, le jagd terrier poil court et le fox terrier poil dur.
La vénerie sous terre née au XVI ième siècle, prend un essor extrêmement important en France et ailleurs. On comptait quelques centaines d'équipages de ce type de chasse dans les années 70. Selon les données de l'association française des équipages de véneries, ils étaient environ 3 000 en 2008, soit 70 000 à 80 000 chasseurs et quelques 120 000 à 140 000 chiens ! Si chaque équipage chasse 15 jours par ans et qu'il massacre trois blaireaux par opération de vénerie, cela totaliserait quelque 135 000 blaireaux ainsi exterminés chaque années par ce seul mode de chasse très destructrice. La haine et la sauvagerie humaine n'a aucune limite, mais quant cessera t'il de freiner sa boulimie destructrice envers le peuple animal. La vénerie sous terre est par conséquent tout sauf une chasse qui laisse une chance à l'animal. Son analogie avec la corrida est à juste titre évidente autre vestige de la cruauté humaine au prétexte navrante évoquant art et tradition. De nos jours, une personne seine d'esprit et sensé, au XXI siècle aucune d'elle n'oserait attribuer aux abattoirs une quelque contre notion artistique, alors que ces deux activités que sont la vénerie sous terre et la corrida en sont affublés ... Les équipages de véneries sous terre évoque la phrase suivante pour la chasse au blaireau que " Il est chassé selon une méthode ancestrale ..." le traité de vénerie sous terre date de 1502.
Vous trouverez ci dessous 3 films sur le déroulement du déterrage de blaireau en France.
Les deux premiers sont a télécharger, mais le dernier vous pouvez juste cliquer sur la jaquette le film démarrera tout seul.
Les deux premiers sont a télécharger, mais le dernier vous pouvez juste cliquer sur la jaquette le film démarrera tout seul.
Nous tenions vraiment à vous montrez en image la violence, la cruauté et la barbarie sanguinaire engendré par ce type de chasse qu'est la vénerie sous terre.
Les images parlent d'elles mêmes . . .
Les images parlent d'elles mêmes . . .
ATTENTION ! mise en garde importante :
certains passages de ces vidéos sont très très dure à regarder, personnes sensibles abstenir.
Les autres pays ne sont pas en reste quant il s'agit de parler de cruauté et de persécution animale.
Comme le témoigne ces deux autres vidéos étrangères, l'une Allemande à gauche et l'autre à droite est un court métrage Russe.
ATTENTION !
Une nouvelle fois nous vous mettons en garde pour ces deux films.
Surtout pour la vidéo Russe, un passage de cette vidéo est vraiment très horrible et difficile à regarder.
Le monde de la chasse à même eu l'audace de créer un championnat de France du déterrage, du 16 au 18 mai 2008 à Cluny en Saône-et-Loire qui, sans la montée au front d'importantes troupes d'écologistes et naturalistes plus de 250 opposants, sous la surveillance de la gendarmerie, ce grand rassemblement aurait bien pu être pérenniser... Suite à ces événements, ce championnat n'existerait plus... officiellement ! En 2006, c'est à Saint-Bonnet-Tronçais dans l'Allier que commença à être organisé le concours international de déterrage. Dans ce grand rassemblement, sera réunis plus d'une soixantaine d'équipages, afin de montrer une soit disent civilité de cette chasse, tous les ingrédients étaient réunis pour cette fêter des barbares, afin de montrer le côté cruelle, violent et sanguinaire que peu se vêtir l'homme, le plus grand prédateur du monde. Mais cela ne s'arrête pas là, en septembre 2013, un concours est prévu sur la communauté de commune du Castelbriantais. Certaine lecture de différents forum ou magazine de chasse, précise le côté amusement de ce massacre sanguinaire, cela est indigne d'un pays civilisé comme le notre, mais en parcourant ces quelques phrases barbares, le but n'est autre qu'une misérable partie de plaisir et ou la notion de gestion n'est ici qu'accessoire.
Film de 65 mm. de Kate Amiguet cinéaste Suisse
Le film coup de poing qui dénonce l'atrocité et l'imposture de la chasse.
Un édifiant plaidoyer en faveur du monde sauvage.
Le film coup de poing qui dénonce l'atrocité et l'imposture de la chasse.
Un édifiant plaidoyer en faveur du monde sauvage.
Pour visionner la vidéo et visiter le site de l'auteur, cliquez sur le logo ci dessous.
La Tuberculose Bovine
Le problème demeure quant même un problème éminemment infra-agricole ! L'éradication massive préconisée comme solution efficace pour détruire la bactérie à trouvé ses faiblesses comme l'atteste la longue campagne d'élimination de 1973 à 1998 au Royaume- Unis et la recrudescence importante qui s'en est suivie. Deux études successives d'un groupe d'experts mandatés par la DEFRA (Département pour l'Environnement, l'Alimentation et les Affaires rurales), puis d'une équipe de l'université d'Oxford ont également étayé cette thèse. Entre 1975 et 1997, plus de 20 000 blaireaux ont été tués en Grande-Bretagne dans le cadre d'une stratégie de lutte visant à éradiquer cette maladie. Malheureusement cette campagne n'a pas porté ses fruits. L'élimination massive du blaireau Européen n'est donc qu'une solution à très court terme, le salut demeure du côté du monde agricole et de ses pratiques ... De nos jours encore, de plus en plus de blaireau sont hélas massacrés sous le couvert de cette bactérie. Selon les chiffres, le sanglier est proportionnellement le plus atteint par la tuberculose bovine, ils ne vont pas forcément développer la maladie mais peuvent transmettre celle-ci plus facilemnt compte tenu de leurs comportements et modes de vie comme densité de la population, domaine vital plus vaste ... Mais, après certaine analyse, bizarrement l'on évoque le contraire, se serait le blaireau qui serait le plus touché par cette pathologie. Voilà encore une belle preuve de l'aspect économique de la chasse et encore une nouvelle fois privilégié... Détruire au rang des souvenirs le peuple des blaireaux eurasien sous le prétexte de la tuberculose bovine. Encore une preuve que le sanglier et les cerf est porteur de la tuberculose bovine, depuis 2001 cette dernier est présente en Normandie sur ces deux espèces, quant à eux le blaireaux ne sont pas touchés. Le même constat à été observé dans les Pyrénées-Atlantiques et en corse, mais dans cette dernière région Française le blaireau n'y est pas présente.
L'avenir, les campagnes de destruction des blaireaux étant inefficientes, voire contre-productives, les scientifiques suggèrent de nouvelles stratégies de lutte face à cette maladie, qui seront sans doute plus efficaces si elles sont menées de concert: un contrôle très strict des déplacement du bétail, l'instauration de mesures visant à éviter autant que possible l'accès des blaireaux aux ressources fermières et infrastructures agricoles, et finalement l'utilisation de dépistage de la tuberculose plus efficaces. Le développement de vaccins, autant pour le bétail que pour les blaireaux, fait l'objet de nombreuses recherches, mais cette solution nécessitera encore de nombreuses années avant de pouvoir avoir fait ces preuves. A l'heure actuel, une grande campagne de vaccination sur les blaireaux contre la TB est déjà pratiqué au Royaume Unis par The Wildlife Trusts.
Comme ci la vénerie sous terre ou le trafic routier ne suffisaient pas pour réduire au rang des souvenirs le blaireau, voici maintenant un troisième fléaux la Mycobacterium bovis, Le blaireau n'est pas le seul concerné par cette pathologie, les sangliers et les cerfs peuvent être également porteur et donc être susceptible de transmettre la maladie à un cheptel bovin si leurs domaines vitaux se chevauchent. En 1971 un blaireaux infecté par la tuberculose fut découvert, et immédiatement l'on soupçonne maintenant que les blaireaux servaient de réservoir sauvage à cette zoonose. Petit tour d'horizon dans cette pathologie, afin de comprendre comment on a pu en arriver là. Voyons donc en détail ce qu'est cette maladie, dont le blaireau en serait porteur principal.
Comme l'évoque le Dr. Emmanuel Do Linh San dans son ouvrage sur le blaireau d'eurasie des éditions delachaux et niestlé la bible du blaireaulogue : " les blaireaux possèdent en fait un certain degré de résistance à la tuberculose, et il est rare de trouver des animaux présentant un stade avancé de la maladie. Celle-ci ne se développe d'ailleurs pas systématiquement, et il existe toujours des chances de guérison, car les lésions peuvent se calculer ou être inactivées, empêchant ainsi l'expansion des bactéries. Parfois la tuberculose n'affecte donc qu'un ou deux membres seulement d'un groupe".
La France était indemne de la tuberculose bovine jusqu'à 2000, c'est-à-dire que le taux de troupeaux contaminés était inférieur à 0,1%. La difficulté prophylactique de la mise en place de la vaccination, allié à un relâchement certain du monde agricole, à permis à cette pathologie de se réinstaller dans différentes régions Française à partir de 2002, donc les espèces concernés cerfs et sangliers en Seine-maritime et Eure, pour le blaireau c'est en Bourgogne dont seulement 12 blaireaux ont été contrôlés positif sur 3000 éliminés entre 2009 et 2010. Par ailleurs, les pratiques de la régulation de la faune sauvage par le biais d'affouragement, de nourrissage ou d'agrainage des sangliers et de cervidés de façon quasi industrielle et à ciel ouvert, ainsi que le laisser sur place des viscères éventuellement infectées par la maladie (une estimation à été faite par l'ONCFS lors de prélèvement statistiques plus de 5000 tonnes par an en France, c'est donc à cause de se laissé allé des chasseurs qu'on implicitement porté Mycobacterium bovis au sein de la faune sauvage, donc toutes ces pratiques sont autant d'encouragement cynégétique à la propagation de cette contamination tuberculine. Les milieux scientifiques ont démontré clairement qu'il n'existe pas de foyer bactérien tuberculinique sauvage. D'autres facteurs peuvent la cause de propagation, comme détruisant la structure des groupes de blaireaux, favorise le déplacement de ces derniers vers d'autres territoires inoccupés, augmentent ainsi la probabilité de rencontre entre bovins et blaireaux, ce qui peut être alors un facteur de la propagation de la maladie.
La France était indemne de la tuberculose bovine jusqu'à 2000, c'est-à-dire que le taux de troupeaux contaminés était inférieur à 0,1%. La difficulté prophylactique de la mise en place de la vaccination, allié à un relâchement certain du monde agricole, à permis à cette pathologie de se réinstaller dans différentes régions Française à partir de 2002, donc les espèces concernés cerfs et sangliers en Seine-maritime et Eure, pour le blaireau c'est en Bourgogne dont seulement 12 blaireaux ont été contrôlés positif sur 3000 éliminés entre 2009 et 2010. Par ailleurs, les pratiques de la régulation de la faune sauvage par le biais d'affouragement, de nourrissage ou d'agrainage des sangliers et de cervidés de façon quasi industrielle et à ciel ouvert, ainsi que le laisser sur place des viscères éventuellement infectées par la maladie (une estimation à été faite par l'ONCFS lors de prélèvement statistiques plus de 5000 tonnes par an en France, c'est donc à cause de se laissé allé des chasseurs qu'on implicitement porté Mycobacterium bovis au sein de la faune sauvage, donc toutes ces pratiques sont autant d'encouragement cynégétique à la propagation de cette contamination tuberculine. Les milieux scientifiques ont démontré clairement qu'il n'existe pas de foyer bactérien tuberculinique sauvage. D'autres facteurs peuvent la cause de propagation, comme détruisant la structure des groupes de blaireaux, favorise le déplacement de ces derniers vers d'autres territoires inoccupés, augmentent ainsi la probabilité de rencontre entre bovins et blaireaux, ce qui peut être alors un facteur de la propagation de la maladie.
Le sanglier est le plus touché par la tuberculose bovine
Reste de viscères et de parties anatomiques de sanglier abandonné lors d'une chasse. Cette pratique barbare augmente encore plus la contamination de la Mycobacterium bovis.
Cliquez sur le logo afin d'en connaître plus sur cette campagne de vaccination
DVD de 27 minutes de l'association Meles sur la TB bovine,
réalisé par Virginie Boyaval.
"Le blaireau, bouc émissaire de la tuberculose bovine".
Lien pour passer commande du film - http://www.meles.fr/publications.html
Cette espèce fait donc beaucoup plus les frais d'une mauvaise gestion humaine et n'est pas responsable de la réapparition de la tuberculose bovine. Mais les chasseurs, continuent d'utiliser le prétexte d'une éventuelle épidémie pour s'amuser à détruire les blaireaux tout en s'habillent des vêtements d'un agent sanitaire. Décidément ces chasseurs s'octroient plusieurs corps de métiers ... en se les approprient ils croient faire le bien, mais malheureusement c'est le mal qu'ils engendrent, c'est vraiment très mal réfléchi de leurs part, mais ça les conneries ils savent les faire c'est leurs spécialité comme faire épouser la mort cruellement et avec souffrance l'existence du petit ourson des bois appelé blaireaux, blairelles et blaireautins ...
Gazage - piégeage - vêtements - hygiène . . .
" une vie continuellement remplis de dangers ... "
Lutte contre la rage sylvestre ou selvatique
Quatre célébrités anglaises qui protège les blaireaux.
De droite à gauche
Brian May - pianiste et compositeur, il était l'ancien guitariste du très célèbre groupe de rock Queen.
Brian Blessed - acteur, chanteur, réalisateur et écrivain Britannique.
Judi dench - actrices anglaise de renommée mondial.
Stephen Fry - acteur, réalisateur, écrivain et humoriste Britannique;
Autres destructions, persécutions et cruautés humaines envers
le petit ourson des bois
le petit ourson des bois
Gazage - piégeage - vêtements - hygiène . . .
" une vie continuellement remplis de dangers ... "
Lutte contre la rage sylvestre ou selvatique
La rage c'est répandue en Europe après la guerre de 1939-1945, se fut le renard qui principalement en était le vecteur. Dans l'hexagone, la rage toucha le nord-est dès 1968 et évoluent d'une façon régulière en direction du sud-ouest à une vitesse phénoménale, le quart du territoire français fut touché. Dans de nombreux pays d'Europe, la lutte contre cette maladie avait donc pour objectif principale de réduire en priorité la population vulpine c'est à dire les renards, car comme ce virus peut être transmis à d'autres animaux sauvages mais également domestiques comme tels que les bovins, les chiens et les chats puis ensuite, cette dernière peut contaminer l'homme par morsure. Les différentes formes de contrôle furent très différents, cela va du gazage au piégeage, mais également le tir au fusil en fait partie ou les appât empoisonnés. Mais toute ces mesures eurent malheureusement d'importants effets destructeurs sur une grande partie des populations de blaireau. Comme le renard squatte ou cohabite très souvent le terriers du blaireau et que tous les terriers n'était pas différenciés, si bien autant que les canidés et que le mustélidé furent gazés empoissonnés... systématiquement à l'aide de la chloropicrine et autres produit tueur comme des boulettes à la strychnine. Le blaireau semble bien moins touchés par cette maladie, en 1990 on signalait en Europe 17 300 cas de rage animale, dont 12 800 par des renards et le blaireau en était qu'à 270 cas. De nos jours heureusement, le gazage des terriers des blaireaux et des renards fut remplacé dans les années 1986 en France et en Belgique par des programmes de vaccination du renard au moyen d'appâts contenant le vaccin antirabique. Le succès de cette campagne fut total et aujourd'hui la rage vulpine a ainsi été extirpée de la vie sauvage mais en Suisse seulement, dans d'autre pays d'Europe comme en France, en Belgique, au Luxembourg ou en Italie, la maladie demeure encore.
Cette technique n'a semble t'il été employé que depuis le XVIIe siècle. Il est possible que les blaireaux étaient capturés de manière "accidentel", car les pièges étaient très certainement installés avant tout pour détruire les loups ou les renards. De nos jours, les différentes techniques et outils de piégeages sont maintenant peu utilisés pour la capture du Taison, car le blaireau n'étant pas une espèces susceptible d'être classée dans les nuisibles, il ne peut en aucune manière générale être régulé par de quelconque systèmes de piégeage. Mais toutefois, dans certains cas, consécutivement à des dégâts, un arrêté préfectoral de destruction peut être pris. Il charge un lieutenant de louveterie de procéder à cette destruction. Le piégeage peut alors être utilisé.
Piège de grande taille longueur 150 cm, largeur x 31 cm. de hauteur x 35 cm à blaireau et collet ci dessous
Image atroce d'un blaireau piégé à l'aide d'un collet
Sur cette image encore plus barbare, ici le blaireau pris dans un piège à essayé de sans échapper en essayant de se ronger ses propres pattes
Les persécutions blaireaulogique ne s'arrêtes pas aux seuls barbaries humaines cités plus haut, le blaireau subit encore d'autres méthodes cruels de destructions. Sa fourrure est considérés comme d'une qualité supérieur, les poils du blaireau ont comme caractéristique de très bien retenir l'eau et d'être très doux.
Ces poils sont bien évidemment connu pour la confection des blaireaux de rasage utilisé par la gent masculine, c'est là que la douceur du poil et sa propriété de retenir l'eau est idéal pour les crèmes à raser. Il existe plusieurs qualités de blaireau, selon la provenance du poil de l'animal, ces différentes qualités de poils sont réparties par ordre croissant de prix et sont classé dans trois groupes. Le pure blaireau, désigne le poil qui recouvre environ 60% du corps de l'animal, c'est le poil le plus court et le plus épais et il peut présenter toutes les nuances du clair au noir. Le best blaireau quant à lui est un poil plus fin et plus long, généralement plus clair que le pure qui recouvre environ 25% du corps de l'animal. Et enfin le super blaireau, est un poil long et souple, généralement bicolore et dont l'extrémité est naturellement blanche, il couvre 15% du corps de l'animal. Pour fabriquer un blaireau les fourrures de l'animal proviennent généralement de Chine ou l'espèce dans ce pays est considéré plutôt comme une vermine, il subsiste encore un fabriquant Français. Heureusement avec l'apparition des rasoirs électriques, des gel de rasage moussant par simple massage et des poils synthétiques à fait nettement régressé l'emploi du blaireau de rasage.
Dans le domaine des beaux arts, les poils de blaireau sont également utilisés pour fabriquer des pinceaux pour les peintres mais aussi pour la rénovation d'objets d'art comme la dorure. Dans le domaine du maquillage professionnel, se sont des pinceaux réservés à la pose des blushs et des fards en poudre, mais toute fois la plupart du temps, ils sont confectionnés à partir de poils de martre!
Une série de sporrans, observez que les deux espèces celle de droite et celle de gauche, sont des blaireaux Américain, amis celle au centre c'est le blaireau eurasien.
QUELQUES EXEMPLES CI DESSOUS D'ACCESSOIRES DE MODE
RÉALISÉ EN FOURRURE DE BLAIREAU
( ici les articles représentés sont en fourrure de blaireau d'Amérique Taxidea taxus )
Le Duc de Clarence (8 janvier 1864 - 15 janvier 1892) vêtu de son sporran et le hochet du Prince Joseph-Ferdinand
Soldats Écossais habillés d'un sporran
Dans le domaine de la pêche, la fourrure de blaireau ne sont pas indifférent. Avec ses poils, l'on confectionne des mouches et streamers pour pêcher la truite et le saumon
Des blaireaux maltraités pour fabriquer des pinceaux de maquillage
Vidéo choc à l’appui, PETA dénonce la maltraitance envers des blaireaux qui sont utilisés pour fabriquer des brosses et des pinceaux de maquillage.
Dans une enquête publiée ce 20 septembre, l’association de défense des droits des animaux PETA dénonce les méthodes de l’industrie de poil de blaireau en Chine.
Des produits vendus en Europe
Ces animaux protégés sont enfermés dans des minuscules cages puis ils sont tués dans le but d’utiliser leurs poils pour fabriquer des brosses de rasage, des pinceaux de maquillage ou de peinture. Produits en Chine dans des conditions atroces, ces ustensiles sont ensuite exportés dans le monde entier et vendu par des grands groupes comme Amazon ou la chaîne Boots. Les blaireaux sont également tués pour leur viande, leur peau mais aussi pour extraire de l’huile de leur graisse, qui aurait des vertus « médicinales ».
Une maltraitance autorisée en Chine
Un témoin de PETA Asie a réussi à s’introduire dans plusieurs élevages chinois. Il est revenu avec des images rares et choquantes. On y voit des blaireaux sauvages très excités dans leur cage. Beaucoup d’entre eux présentent des blessures. Un ouvrier tente ensuite d’assommer à plusieurs reprises un animal avec un morceau de bois avant de l’égorger. PETA explique qu’il n’existe en Chine quasiment aucune loi punissant la maltraitance infligée aux animaux dans les sites de production et qu’aucun des actes de violence montrés dans la vidéo n’était illégal.
Des alternatives synthétiques existent
À la fin de la vidéo, l’association interpelle les internautes : « Est-ce que votre pinceau de peinture, de maquillage ou de rasage vaut toute cette souffrance ? ». PETA souligne enfin que ces animaux sont tués pour rien car des alternatives existent. « Des pinceaux dotés de poils synthétiques de grande qualité sont commercialisés un peu partout, et de plus en plus de grandes entreprises répondent à la demande des consommateurs en faveur de produits éthiques et sans cruauté », indique l’organisation.
Regardez la vidéo tourné par PETA en Asie
ATTENTION ! une nouvelle fois cette vidéo est très dure à regarder
Association PETA
cliquez pour visiter le site
LA PHARMACOLOGIE BLAIREAULOGIQUE
Ce qui est évoqué sur les propriétés pharmaceutiques de la graisse du Blaireau, il paraîtrait qu'elle aurait beaucoup de propriétés médicinales sur le corps humain. Voilà se que l'ont raconte sur ce mustélidé "elles seraient à l'origine de substances biologiquement actives divers qui, seraient acquises par l'animal par ses fonctions vitales normales, ainsi le blaireau pendant plusieurs mois d'hibernation pourrait vivre sans nourriture et sans eau", je vous laisse faire le jugement de cette constatation d'une stupidité renversante, c'est bien mal connaître l'existence du blaireau.
Malheureusement, la graisse de blaireau serait largement utilisé dans la médecine et serait populaire depuis plus de deux siècles, car il paraît qu'elles serait très reconnu pour ces performances en médecine naturelle et prophylactique. Une fois pris, elle est entièrement assimilé dans le sang, enrichissant l'organisme avec des oligoéléments nécessaires, des acides biologiques et des vitamines. En prenant de la graisse du blaireau, l'immunité de l'organisme est augmenté, le système de formation de sang se règle et le métabolisme de protéine devient mieux. L'utilisation de la graisse de blaireau aide à éviter certaines maladies comme la tuberculose et normalise l'activité sécrétoire de l'estomac et des intestins et en plus, ces médicaments à base de graisse de blaireau, favorise le ralentissement de processus purulents. Elle aiderait également à protéger le système immunitaire de l'organisme et repousse les infections respiratoires comme l'asthme.